Vous verrez, ils vont finir par envahir notre quotidien, ces petits carrés magiques qu’on décrypte avec un smartphone. Ils s’insinuent progressivement dans les colonnes des journaux, sur les étiquettes et les emballages, au bas des affiches, au coin des publicités… et même dans les parterres comme à Nancy où une mosaîculture de plantes, au beau milieu de la place Stanislas, donnait accès au programme des festivités musicales d'octobre...

Ces codes matriciels à deux dimensions peuvent crypter plusieurs centaines de caractères, là où les codes-à-barres n'en contiennent guère plus d'une vingtaine. Mais seuls les heureux possesseurs d'un smartphone (iPhones, Androïd, Blackberry-Torch...) peuvent les "flasher" pour prendre connaissance de leur contenu (textes, photos, musiques ou vidéos). À la condition, toutefois, d'avoir installé au préalable, sur leur téléphone mobile, un petit logiciel de lecture (gratuit).

On les appelle QR-Codes (QR pour Quick Response), ou encore "Tags", "Flash-Tags", "Mobile Tags"...  Nous appellerons "Fluviatags" ceux que nous commençons à déployer pour FLUVIAL..
Ils vont enfin nous permettre de placer dans FLUVIAL des liens immédiats entre le magazine et Internet - puis d'ajouter progressivement du son et du mouvement aux informations qui auraient besoin de ce complément.
L'occasion aussi d'offrir en cadeau, dès le prochain numéro, quelques bonus à nos lecteurs... Mais c'est encore un secret !

NOTE => Pour nos "Fluviatags", nous utilisons le logiciel-lecteur "i-nigma" qui peut être téléchargé gratuitement sur un smartphone : http://www.i-nigma.mobi/
Et vous pouvez créer vous-même vos propres "carrés magiques" à l'aide d'un générateur de codes - "QR Code Encoder" - également téléchargeable gratuitement : http://qrcode.fr/encoder